"Il est essentiel que, comme Église, nous puissions reconnaître et condamner avec douleur et honte les atrocités commises par des personnes consacrées, par des membres du clergé, mais aussi par tous ceux qui ont la mission de veiller sur les plus vulnérables et de les protéger".
Pape François, Lettre au peuple de Dieu – 20 août 2018
"Le diocèse de Marseille souhaite tout mettre en œuvre pour agir contre les abus et violences qui pourraient avoir lieu en son sein. Pour cela, il est important que nous développions ensemble une culture de la vigilance et que nous nous engagions à assurer la sécurité de celles et ceux que nous sommes appelés à servir".
Cardinal Jean-Marc Aveline
Une révélation, un doute, un malaise ? J’alerte !
- Une révélation de maltraitance, un danger immédiat ? La police ou la gendarmerie au 17
- Un malaise, un doute, des difficultés à décider ? Le 119 pour les mineurs ou le 116 006 pour les adultes vulnérables
- Envie d'en parler au calme ? La cellule d'accueil diocésaine au 07 68 87 87 40 ou cellule.ecoutemarseille@adm13.fr
La non dénonciation de violences ou privations commises sur des mineurs ou personnes vulnérables est punie par la loi (article 434-3 du Code Pénal)
Vous vous sentez troublé par les enfants et vous souhaitez de l’aide ?
Les CRIAVS, services hospitaliers, vous orienteront vers une aide adaptée
J’ai besoin d’aide pour éviter le passage à l’acte : https://dioceseparis.fr/je-suis-un-adulte-qui-veut.html
Vous avez été victime d'une agression dans l'Eglise ?
Vous pouvez être écouté et orienté par :
- Une ligne d'écoute nationale indépendante de l'Eglise (France-victimes) : 01.41.86.42.17 (7j/7 de 9h à 21h)
Des professionnels de France-victimes vous orienteront vers des aides juridiques, psychologiques et sociales. - La cellule d'accueil diocésaine au 07 68 87 87 40 ou cellule.ecoutemarseille@adm13.fr
Vous souhaitez entrer dans une démarche de reconnaissance et réparation :
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Pour aller plus loin
Photo de Une ©DR
Imbroglio : Dans les yeux de l'enfant, se mêlent la souffrance de la violence subie, le déni de sa parole et une grande solitude. Plus tard devenu adulte, à l'imbroglio de son enfance se rajoutera une colère d'avoir été mis en danger et ne pas avoir été secouru. Il comprendra que c'est toute la culture d'un système qui a voulu se protéger au lieu de le protéger. Et son imbroglio ne cesse de se creuser autour de cette interrogation : « Pourquoi ne peut-on pas lui rendre justice ? » C'est tellement vital pour lui pour qu'enfin il puisse avoir la paix et que cesse de couler sa larme d'enfance.
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